Revue de presse
Nouveau Projet, « Lectures estivales : la suggestion de Caroline R. Pâquette »
« Emmanuelle Walter y dévoile un travail de recherche extrêmement rigoureux, documenté, non sans laisser filtrer la tristesse et les doutes qui l’habitent. »
Revue Liberté, « Y a-t-il une justice pour les femmes », été 2015
« Lors de notre entretien, Emmanuelle Walter m’a parlé d’un «inconscient colonial», qu’elle décrit comme une sorte de déni oscillant entre la lassitude et l’irritation de la part des Québécois. »
Radio Canada télé, « 24/60 », entrevue en direct avec Anne-Marie Dussault, 8 avril 2015
Radio Canada télé, « Tout le monde en parle », 29 mars 2015
« La Croix », blog « Pages Noires », 13 mars 2015
« La journaliste française Emmanuelle Walter, installée au Canada, a remonté pendant deux ans la piste de Maisy et Shannon, deux adolescentes dont on a perdu la trace en 2008 (…) Son remarquable récit, détaillé, poignant, décrit l’envers du décor. »
« Radio Ville-Marie », entrevue avec Mario Bard, 3 mars 2015
« Elle Québec », entrevue avec Danielle Laurin, mars 2015.
« Dans Sœurs volées – Enquête sur un féminicide au Canada, la journaliste québécoise d’origine française raconte pas à pas l’histoire de ces deux adolescentes qui va bien au-delà du fait divers: depuis 1980, près de 1200 femmes autochtones ont été assassinées ou portées disparues au pays. »
RDI, 24/60, entrevue en direct avec Anne-Marie Dussault, 13 février 2015.
« Soeur blanche », entrevue dans La Presse, par Marie-Christine Blais, 8 mars 2015.
« Longtemps, les sujets « féminins » et « féministes » n’ont pas été considérés comme des enjeux sociaux universels… Pourtant, au cours des 15 derniers mois, quatre essais portant sur des questions dites « de femmes » sont parvenus à occuper véritablement l’espace public. En cette Journée de la femme, nous avons demandé à Emmanuelle Walter, Léa Clermont-Dion, Martine Delvaux et Fanny Britt pourquoi leurs livres ont réussi là où d’autres ont souvent échoué… »
RTBF, entrevue pour l’émission « Bang Bang »,
L’entrevue a eu lieu pendant la Foire du Livre de Bruxelles fin février. (Attention, ce lien pourrait n’être que provisoire).
Radio Canada Ottawa, « Les Voies du retour », 19 février 2015
Entrevue radio
TV5 Monde, article + vidéo, entrevue avec Catherine François, 13 février 2015
« Emmanuelle Walter raconte dans son livre sa rencontre avec les familles de deux adolescentes autochtones qui ont disparu et n’ont jamais été retrouvées, des histoires qui l’ont bouleversée. Elle a été particulièrement choquée par le « deux poids deux mesures » qui caractérisent ces histoires de disparitions de femmes ou d’adolescentes, dans le sens où quand il s’agit d’une jeune fille blanche qui est portée disparue, les médias s’emparent de l’affaire, la police met les bouchées double et l’opinion publique est ultra-sensibilisée alors que les jeunes filles autochtones disparaissent dans un silence assourdissant. »
La Presse, « Femmes volées », la chronique de Rima Elkouri, , 11 février 2015.
« Sous la plume d’Emmanuelle Walter, la tragédie prend corps. Les femmes autochtones disparues ne sont plus des statistiques anonymes. Ce sont des filles, des sœurs, des voisines. C’est une petite-fille qui avait l’habitude de laisser à sa grand-mère des petits mots sur la table, désormais gardés précieusement dans un tiroir. ‘Je suis encore sortie. Je t’appelle plus tard. Je t’aime. Maisy’. »
CHOQ, entrevue avec Marie-Eve Blais, 27 janvier 2015.
Chaîne D8 (France), entrevue, 20 janvier 2015.
Lien accessible uniquement depuis l’Europe.
« Le Mouton noir », 17 janvier 2015, Kim Gagné
« Lire Sœurs volées. Enquête sur un féminicide au Canada, c’est regarder au-dessus de l’épaule d’Emmanuelle Walter alors qu’elle assemble un sombre puzzle de témoignages et de statistiques dévoilant la violence vécue par les femmes autochtones. C’est ouvrir les yeux le temps que se révèlent les contours d’un visage que nous pourrions nous aussi avoir connu, aimé, puis perdu. »
« Monde diplomatique », janvier 2015, Philippe Pataud-Célerier (voir aussi ici)
« Non, ces jeunes femmes n’ont pas de conduite à risques. Elles prennent seulement le risque de vivre là où la société canadienne les condamne à survivre. »
« Des matins en or », Radio Canada Abitibi, 5 janvier, 8H24
Entrevue en direct avec David Chabot. Voir l’audiofil.
« Puisqu’il faut se lever », 98.5, 3 janvier
Entrevue en direct avec Louis Lacroix. Emission inaccessible en ligne.
« Disparues dans l’indifférence », le Journal de Montréal, 29 décembre
« Même si on en parle peu, le troublant phénomène des femmes autochtones disparues ou assassinées touche aussi le Québec. C’est ce que rappelle la journaliste Emmanuelle Walter, qui s’est penchée sur la triste histoire de deux adolescentes de Maniwaki mystérieusement disparues en 2008. »
« Indiens vaut mieux que deux tu l’auras », Didier Hassoux, Canard Enchaîné, 23 décembre
« La quête d’Emmanuelle Walter emprunte à la fois au journalisme – les faits, rien que les faits -, à l’engagement militant – et ce n’est pas un gros mot – et au récit – presqu’un roman, où elle n’hésite pas user du « je ». Surprenant, le cocktail se déguste pourtant comme une bonne lampée (…) »
L’article n’est pas en ligne.
« Le sort funeste de 1181 femmes autochtones », 13 décembre 2014, Journal de Montréal
« C’est pour donner des visages à ces chiffres et «crever l’indifférence» que la journaliste indépendante Emmanuelle Walter, a écrit le livre Sœurs volées: enquête sur un féminicide au Canada, sorti le mois dernier en librairie. »
BastaMag, « Ces assassinats massifs de femmes amérindiennes que le Canada refuse de voir », 15 décembre 2014,
« En 30 ans, elles sont 1181 à avoir disparu. Cette histoire, Emmanuelle Walter, une journaliste française installée au Québec, a décidé de la raconter en retraçant le parcours de deux adolescentes disparues en 2008. Dans son livre Sœurs volées, elle décrit la souffrance, la misère et la vulnérabilité des Amérindiennes, et pointe du doigt les tentatives de « destruction » de la communauté autochtone menées pendant plus de 150 ans. »
Radio Canada, « Faut pas croire tout ce qu’on dit », 6 décembre 2014,
Émission entièrement consacrée aux femmes autochtones assassinées ou disparues. Avec Michèle Audette, ex-présidente de l’Association des femmes autochtones du Canada, Emmanuelle Walter, journaliste indépendante, auteure du livre « Soeurs volées », Enquête sur un féminicide au Canada, Lux Éditeur, 2014, Widia Larivière, coordonnatrice jeunesse, Association des femmes autochtones du Québec, co-fondatrice du mouvement Idle No More, Roméo Saganash, député fédéral d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, porte-parole adjoint en matière d’affaires intergouvernementales autochtones, ex vice-grand chef du Grand conseil des Cris, Serge Bouchard, anthropologue.
Europe 1, « Les carnets du Monde » , 29 novembre 2014
La nouvelle édition, Canal +, 28 novembre 2014
Journal du Dimanche, 28 novembre 2014
«Un récit à la fois très détaillé sur cet invraisemblable phénomène, et une sorte de road-movie façon fait divers mais très personnel, sur les routes de ces contrées sauvages et fantasmées. Une plongée dans l’envers du décor d’un pays qui fascine et attire.» (Karen Lajon)
Le Monde, « Au Canada, un féminicide ignoré », 27 novembre 2014
Le « Livre du jour », par Marc-Olivier Bherer
Le Devoir, « Mettre des visages sur des disparitions, 26 novembre 2014
«Un livre vibrant» (Caroline Montpetit)
Les Inrockuptibles, « Canada : silence, on assassine les Amérindiennes« , 26 novembre 2014
«Une enquête vertigineuse» (Jean-Marie Durand)
TV 5 Monde,«Le Monde en Français», 25 novembre 2014
«C’est la journée mondiale pour l’élimination de la violence contre les femmes. Le jour idéal pour ouvrir les yeux ! Pendant 30 ans, le Canada les a fermés. Dans l’indifférence générale, le pays a laissé se produire un féminicide. Depuis 1980, 1.200 Amérindiennes ont disparu ou ont été assassinées. Que dit ce scandale de nos sociétés et des femmes amérindiennes ? Deux Grands Témoins avec nous dans 64′! Emmanuelle Walter – Auteure de « Soeurs volées » et Patrick Deval- Auteur de « Squaws, la mémoire oubliée.»
Début de l’interview: 1 minute 05 sec
La Presse, 23 novembre 2014.
«Depuis 1980, près de 1200 femmes autochtones ont été tuées ou sont disparues au Canada. Ce fait méconnu et troublant obsède la journaliste Emmanuelle Walter depuis des années. Elle en a tiré un livre touchant,
Une entrevue avec Louise Gendron sur le site web de Châtelaine, le 21 novembre 2014.
Pourquoi raconter l’histoire de Maisy et Shannon?
Quand j’ai entendu parler de ces disparitions, je suis tombée de ma chaise. Et j’ai voulu comprendre. C’est mon chum qui m’a convaincue de faire un livre. Et un éditeur s’est tout de suite montré intéressé. Alors j’ai plongé. Mais je ne voulais pas de grande analyse avec des chiffres. Je voulais travailler sur un fait divers, une histoire à laquelle on peut s’identifier. Parce que raconter une histoire, c’est raconter toutes les histoires. Et je voulais des Québécoises parce que je vis ici. Et parce qu’on m’a dit tant de fois que ces affaires ne se passaient que dans l’Ouest, alors que 46 Québécoises amérindiennes ont été assassinées depuis 1980. »
Le choix de Marie-Louise Arsenault dans «La liste de notre invitée», La Presse, 15 novembre 2014.
« J’ai adoré cet essai d’Emmanuelle Walter (…) Elle fait une enquête sur deux jeunes disparues de Maniwaki qui n’ont jamais vraiment été recherchées. C’est un livre essentiel que tout le monde devrait lire. »
Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit, Radio Canada Première, 6 novembre 2014:
« Un livre nécessaire» (Marie-Louise Arsenault)
Interview sur APTN, la télé autochtone canadienne, 6 novembre 2014
Entrevue avec Michel Désautels, Radio Canada Première, dans l’émission «Désautels le dimanche», 2 novembre 2014
«Des soeurs volées, mais pas oubliées», 1er novembre 2014
«En dressant les portraits de Maisy Odjick et Shannon Alexander, en prêtant la parole à leurs proches, Emmanuelle Walter a non seulement voulu «rappeler qu’elles auraient pu être nos voisines», mais aussi démontrer que la vulnérabilité de ces femmes «n’est pas un problème propre à l’Ouest, à la fameuse Autoroute des larmes ou au Downtown Eastside de Vancouver».
Livres Hebdo (Paris), «Des femmes disparaissent», 31 octobre 2014
«Dans ce livre-choc, Emmanuelle Walter donne une autre vision du Canada, loin de la carte postale du pays de Cocagne (…) Féminicide, le mot est fort. Mais on n’en trouve pas d’autre».